Research studies

La startup entre co-concurrence et co-compétitivité

The startup between co-competition and co-competitiveness

 

Prepared by the researcher

Rofia ABADA / ARZOUR – Enseignante chercheure à l’universitéAbdelhafidBoussouf, Mila

Doctorante à la Faculté d’Architecture et d’Urbanisme, Laboratoire « Villes et santé » – Université Salah Boubnider Constantine 3.

Source – Democratic Arab Center

Journal of Media Studies : Issue Atheist ten – May 2020

A Periodical International Journal published by the “Democratic Arab Center” Germany – Berlin

Nationales ISSN-Zentrum für Deutschland
ISSN (Online) 2698-6159
ISSN   (Print)  2699-2604 
Journal of Urban and Territorial Planning

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Résume

La mondialisation économique et la globalisation financière ont complètement changé la donne du territoire, Pollution, catastrophes environnementales et autres dommages, plongent l’environnement dans des scenarios incertains, difficiles à gérer et à maitriser, ce qui a fait apparaître la nécessité de mettre en place des règles pour concilier les objectifs économiques et les exigences écologiques. Les territoires innovants s’appuient sur trois piliers théoriques distincts: des politiques publiques ambitieuses, des universités et laboratoires de recherche performants et des entreprises nombreuses et diversifiées.  L’objectif de notre contribution est de mettre sous les projecteurs une démarche d’Intelligence Economique prenant en charge la logique de Développement Durable, on se focalisera sur une approche dite « Quintuple Hélice » qui vise à développer une approche fondée sur des paradigmes nouveaux ceux de « COcurrence » et « COpétitivité »le « CO » sera le mot d’ordre de ce travail. Il faut noter que créer une entreprise est perçue comme un acte positif. Si un individu crée une entreprise c’est parce qu’il a un projet précis à proposer, une idée à présenter, souhaitant dès lors bousculer les routines organisationnelles et technologiques (cf. Schumpeter), en réalité il a réussi a détecté une opportunité (cf. Kirzner). En parallèle une multitude de petites entreprises sont créées tous les jours pour de toutes autres raisons, et en premier lieu pour créer son  propre emploi (cf. Casson). Les gouvernements des pays en développement multiplient depuis ces trente dernières années les mesures d’incitation à la création d’entreprise, notamment en Algérie. Nous pensons que l’Intelligence Economique peut jouer son rôle de médiation,  qui se caractérise par une « dimension prospective » afin de tracer des futurs possibles qui explorent les opportunités de développement durable et éclaire les décisions / actions des parties prenantes de l’écosystème.

Abstract

Economic and financial globalisation have completely changed the situation of the territory. Pollution, environmental disasters and other damage plunge the environment into uncertain scenarios that are difficult to manage and control, which has brought to light the need to put in place rules to reconcile economic objectives and ecological requirements. Innovative territories are based on three distinct theoretical pillars: ambitious public policies, efficient universities and research laboratories and numerous and diversified companies.  The objective of our contribution is to put the spotlight on an approach of Economic Intelligence that takes into account the logic of Sustainable Development. We will focus on a “Quintuple  Helix” approach that aims to develop an approach based on new paradigms: “CO-competition” and “CO-competitiveness”, with “CO” being the watchword of this work. It should be noted that creating a company is perceived as a positive act. If an individual creates a company it is because he has a precise project to propose, an idea to present, wishing therefore to shake up organisational and technological routines (cf. Schumpeter), in reality he has succeeded in detecting an opportunity (cf. Kirzner). At the same time, a multitude of small businesses are created every day for other reasons, and primarily to create one’s own job (cf. Casson). The governments of developing countries have been increasing incentives for business start-ups over the last thirty years, particularly in Algeria. We believe that Economic Intelligence can play its role of mediation, which is characterised by a “prospective dimension” in order to trace possible futures that explore opportunities for sustainable development and enlighten the decisions / actions of the stakeholders in the ecosystem.

Introduction

« On ne naît pas entrepreneur on le devient »(1). Dans ce travail nous allons nous baser sur le concept d’intelligence économique, qui peut être intégrer dans la démarche de développement durable, pour cela l’approche quintuple hélice peut se hisser pour appuyer cette notion. Il faut noter que « La Quintuple Hélice concerne l’environnementnaturel de la société en tenant compte de la transition socio-écologique de la société telle que définie par laCommunauté Européenne en 2009 comme un défi majeur pour la future feuille de route du développement.»(2). Ce travail est issu d’une réflexion qui a été faite par des chercheurs de l’institut de Recherches en Sciences de l’Information et de Communication à l’Université d’Aix Marseille qui ont développé un article intitulé Intelligence économique et Développement Durable des territoires :De la compétitivité à la coopétitivité (3).

Intelligence économique et développement durable du territoire :

(Pélissier, 2009) se penche sur, deux approches :

  • La première, basée sur la notion de « compétitivité- attractivité » où l’intelligence économique et territoriale est un outil stratégique destiné à restaurer la compétitivité de la nation en rendant plus attractifs les territoires qui la composent.
  • La seconde est au service d’un développement équilibré et durable propre à chaque territoire. Pour lui, la réussite d’un territoire ne dépend pas tant de sa capacité d’attraction que de sa capacité à développer des projets diversifiés, mais plutôt d’un capital formel en associant les acteurs du territoire selon une logique de partenariat où l’intelligence économique et territoriale est un outil de médiation qui favorise la coopération, le travail en réseau et le partage d’informations.

Peut-on passer de la COmpétitivité à la COpétitivité ?

(Salvetat et Le Roy, 2007),ont mené uneétude empirique sur un échantillon de 153 entreprises des industries de hautes technologies enEurope, les résultats de leurs travaux, ont montré que les pratiques d’Intelligence Economique decette catégorie d’entreprises, versaient plutôt dans une conception agressive des relationsentre rivaux que dans une conception coopétitive. C’est ce qui confirme donc la difficulté pour certaines entreprises technologiques (startups),de s’insérer dans un mode de travail pluridisciplinaire.

Les auteurs de cette étude énoncent l’impossibilité d’établir le principe d’une« intelligence coopétitive » en parallèle, (Oxley et Sampson, 2004) ont démontré par contre que, ne pas coopérer avec ses concurrentspermet de sauvegarder un savoir-faire (limité) tout en se privant de bénéficier d’immensesavantages tels que des ressources et moyens plus importants ainsi que l’acquisition de nouveaux savoir-faire. Justement l’approche « Quintuple Hélice » développée par (Carayannis et al., 2012) permets à l’Intelligence Economique, de se hisser dans la dimension COpétitive et vise à l’orienter vers une logique de Développement Durable afin de répondre aux défis économiques, écologiques et sociétaux. Dans ce cas nous pouvons évoquer un écosystème d’innovation coopétitif,cinq éléments phares constituent dans ce cas la quintuple hélice :

  • Les décideurs politiques (incarnés par l’Etat, les pouvoirs publics et/ou les collectivités locales), qui fixent le cadre et les règles du développement durable et les conditions sur lesquels l’innovation durable peut être développée ;
  • Les sponsors de l’innovation durable (incarnés par les entreprises économiques), qui soutiennent l’activité de recherche et développement ;
  • Les producteurs de l’innovation durable (incarnés par les universités et leurs incubateurs producteurs d’innovations ainsi que par a société civile au travers des associations, ou des initiatives personnelles, ou les entreprises au travers de partenariats public privés), qui inventent, construisent, vendent ou intègrent les activités de recherche et développement ;
  • Les utilisateurs finaux (incarnés par la société civile), qui expriment leurs valeurs culturelles, citoyennes et sociétales ainsi que leurs besoins et inquiétudes ;
  • Les milieux naturelsqui impactent la société sur les aspects socio-écologiques et aussi les effets globaux du réchauffement climatique.

Dans ce cas l’innovation est stimulée par le renforcement dessystèmes d’intelligenceterritoriale à travers le modèle proposé qui est celui du Quintuple Hélice qui combineconnaissances, savoir-faire ainsi que le système d’environnement naturel dans un seul cadreholistique. Dès lors gouvernance, Industrie, Université, Société civile,Environnement naturel, consolident la stratégie de développement local, régional et voire même territorial.

Par définition LaQuintuple Hélice est un modèle d’innovation permettantd’apporter des éléments de réponse tangibles à travers l’analyse des défis économiques etsociétaux que constituent le développement durable des territoires à travers l’inclusion sociale,l’éducation, l’emploi, la ville, l’industrie, l’énergie, l’eau, l’agriculture, la sécurité alimentaire,le traitement des déchets domestiques et industriels ainsi que la lutte contre les changementsclimatiques(4).

Carayannis et Campbell (2010), édictent que :« la Quintuple Hélice permet de visualiser lesinteractionscollectives ainsi que les échanges de connaissances dans un Etat ou un territoire au moyen decinq sous-systèmes :

  • Le sous-système éducatif se définit en référence aux systèmes d’enseignement supérieur(universités et centres de recherche). Dans cette hélice, le capital humain nécessaire(étudiants, enseignants, scientifiques, chercheurs, entrepreneurs universitaires, etc.) pour unterritoire, participent à la création et la diffusion des connaissances.
  • Le sous-système économique se définit en référence aux entreprises, aux industries, serviceset banques. Cette hélice se focalise sur le capital économique (entrepreneuriat, machines,produits, technologie, finances, etc.) pour un territoire.
  • L’environnement naturel est décisif pour le développement durable en fournissant auterritoire le capitale naturel (biodiversité végétale et animale, ressources hydriques, etc.).
  • La société civile fait référence aux valeurs et la culture des citoyens d’un territoire maisaussi aux médias. Elle combine deux formes de capitaux : d’une part, le capital social(valeurs, traditions, les valeurs, la culture, etc.) et d’autre part, le capital information etmédias (la presse, la télévision, communication, Internet, réseaux sociaux, etc.).
  • Le système politiqueest également d’une importance cruciale car il exprime la volonté del’Etatou du territoire, à se projeter dans le présent et le futur par la définition,l’organisation et l’administration des conditions générales du système. Par conséquent, cettehélice caractérise le capital politique et juridique (visions, politiques, plans, lois, etc.).

L’écosystème d’innovation coopétitif

« La Quintuple Hélice décrit en outre ce que le développement durable pourrait apporter etimpliquer pour l’éco-innovation et l’éco-entrepreneuriat,actuellement et à l’avenir.» (Carayanniset Campbell, 2010). L’idée qui s’en dégage est qu’il existe un lien direct entre cetteapproche et le développement d’une économie circulaire responsable et organisée.

Start-up en Algérie: état des lieux(5) 

Depuis plusieurs années, l’entrepreneuriat en Algérie est en plein croissance, l’état, ainsi que   le secteur privé, emploie des moyens importants pour la promotion de ce domaine et encouragent fortement les citoyens à s’y investir de plus en plus, l’objectif est de développer  l’économie du pays et de trouver une alternative aux Hydrocarbure, des entreprises nationales  ont pris l’initiative et ont ouverts leurs portes pour former,financer et accompagner les jeunes entrepreneurs à créer des start-up.

Il faut préciser qu’il y a quelques années déjà, le concept de START-UP était méconnu par la majorité des Algériens.  Aujourd’hui,  grâce au travail d’organismes évoluant dans le domaine de l’entrepreneuriat (INJAZ El Djazair, ACSE à titre d’exemple) ainsi que la création de multiples accélérateurs de start-up privés ou étatique  (SYLABS, ANPT, incubateur OOREDOO…) ; le nombre de start-up créés est en  évolution quantitatif d’année en année.

 Plusieurs secteurs attirent les jeunes Algériens tel que le transport, le tourisme, santé, environnement… et éveille leur créativité et innovation afin de trouver des solutions qui facilitent le quotidien du citoyen, on peut citer en exemple l’application YASSIR et WASSALNI(inspiré du modèle américain UBER) qui permettent à leur utilisateurs de demander un chauffeur de n’importe quel endroit en Algérie, le but de ces entreprisesest de résoudre le problème de manque de transport dans certaines régions et de mettre fin aux tarifs exorbitants des imposés par certains chauffeurs de TAXI . Une autre start-up qui vise à promouvoir le tourisme local est « nbatou.com » ; c’est une plateforme en ligne qui propose un service de location de maisons, elle offre aux touristes la possibilité de trouver un logement pour leur séjour en concluant des conventions avec des particuliers,  propriétaires  de maisons ou logement.

On retrouve aussi un autre type de start-up qui sont destinées aux professionnels cela utilisent les nouvelles technologies de l’information et permettent aux entreprises de trouver des entrepreneurs, contacter d’autres entreprises, consulter les appels d’offres, trouver du matériels, donner des propositions ou des consultations juridiques, la start-up 360-construction en est un exemple,ainsi que la SARL i2b le premier portail algérien des appels d’offres, destiné à toutes les entreprises de toute taille, de tout secteur, Conçu pour faciliter la recherche des marchés publics intéressants dans un temps record, offrant des services qui consiste à consulter les avis d’appel d’offres ; avis d’attribution ; avis d’annulation ; retrait du cahier des charges ;dépôt de soumission ; représentation de sociétés étrangères…etc.

Start-up algériennes face à l’économie mondiale

Les statistiques mondiales  mettent sous les projecteurs cette autre facette de l’économie Algérienne, celle de la place de notre pays au monde; l’Algérie est :

  • le 7e pays en Afrique qui offre le meilleur environnement entrepreneurial, selon le site « global entrepreneurship index 2018»,
  • elle occupe la 80e place dans le classement mondial,
  • la 14e place au niveau régional (moyen orient et l’Afrique du nord) selon le même site.

Les efforts doivent être multipliés pour arriver donc à une économie plus prospère, d’ailleurs l’Algérie ne figure pas dans le classement de « Top 10  des pays africains ayant attirés le plus de financement pour les start-up en 2017 ».

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Source : https://www.liberte-algerie.com/espaceslibres/start-up-en-algerie-etat-des-lieux-289061

Il faut noté que  la conférence nationale sur les start-up  qui a été organisée à Alger par le ministère du Commerce, sous le parrainage du Premier ministère, visait à concrétiser les mesures de développement des start-up,  et surtout à encourager leur création et accompagner leurs promoteurs, pour une meilleure relance de l’économie nationale.

Ces travaux en vue de faire connaître les procédures prises par le Gouvernement au titre du projet de loi de finances (PLF 2020), relatives à l’exonération de ces start-up du paiement des impôts et taxes, notamment ceux qui activent dans le domaine de l’innovation et des nouvelles technologies.

Cela vise à concrétiser les mesures de développement des start-up, encourager leur création et accompagner leurs promoteurs, au vu de leur importance dans la relance de l’économie nationale.Le gouvernement envisage aussi de mettre en place des “mesures incitatives, à même de leur faciliter l’accès au foncier aux fins d’extension de leurs projets”.

L’objectif est de les accompagner pendant la phase de lancement et de garantir, par la suite, leur développement(6).

Dans cette alignée, Mr le premier Ministre a ordonné de charger une commission composée des ministères des Finances, de l’Industrie, de l’Environnement, du Travail, du Commerce et de l’Agriculture,  afin de proposer une série de mesures et de facilitations indispensables, au titre de ce projet de Loi PLF 2020, en vue d’amener cette catégorie d’entreprises à concrétiser ses projets.

Le gouvernement, prépare un écosystème favorable aux startupeurs et auto-entrepreneurs. Chaque secteur (département ministériel) se penche actuellement sur la valorisation de ses start-up”. Pour le ministre du commerce, l’Algérie mise sur les start-up, en créant un environnement favorable pour ces entreprises de jeunes, afin de faire face aux défis d’intégration régionale. Il s’agit, a-t-il dit, d’une « prise de conscience de l’importance de notre potentiel de jeunesse »(7).

Le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique (MESRS), Souligne de ce fait,  l’impératif “d’accélérer” l’installation des comités sectoriels permanents pour donner une nouvelle dynamique aux relations liant le secteur de l’Enseignement supérieur à d’autres pour concrétiser le développement attendu et rejoindre les pays industrialisés. Par ailleurs,  le ministre a appelé les acteurs à inculquer la culture d’invention et d’innovation entre les étudiants universitaires diplômés en les encourageant à créer des start-up(8).

A cette occasion Mr le ministre a mis en avant les efforts consentis en matière de préparation des conditions adéquates pour l’apparition d’une base opérationnelle et technologique diversifiée permettant la relance et l’accompagnement du secteur socio-économique dans le développement global. Il a cité, dans ce sens, le CRTI(9) qui est parmi « les modèles réussis ayant enregistré des résultats probants devant être soutenus pour permettre à ses chercheurs d’élargir leurs activités scientifiques »(9).

Conclusion :

Nous proposons donc, la création d’écosystèmes régionaux favorisant l’innovation et la prise en compte du développement économique qui représente un enjeu fondamental pour lesannées à venir. Ce type d’écosystèmes, ne peut ressembler aux écosystèmes existants quifocalisent leurs visions économiques sur la compétitivité des résultats attendus.

Il faudra donc œuvrer pour concevoir un écosystème créatif et collaboratif, allant au-delà des aspects de concurrence etde rentabilité financière, afin de favoriser le travail pluridisciplinaire en réseau, agir en amontpour satisfaire les «besoins» locaux,  en impliquant fortement la société civile dans l’animation del’écosystème à travers les médias,  et en encourageant la recherche et l’innovation ouverte, etc.

Il faut noté que c’est seulement à ce prix que l’on pourra développer une «nouvelle cohésion sociale», pas nécessairement baséesur la recherche du profit, mais au contraire sur la satisfaction du citoyen et sur la solution deproblèmes locaux ayant une forte implication sociale, et mettre l’intelligenceéconomique au service du développement des territoires.

Passer de la Compétitivité à la COpétitivité, et de la Concurrence à la COcurrence est une des solutions que peut prendre l’état algérien et les startups algériennes en considération, l’idée consiste donc à faire de La Quintuple Hélicela Clef de voûte pour la création d’un écosystème d’innovation coopétitif, qui contient les cinq sous-systèmes cité en amont à savoir (le sous-système éducatif, le sous-système économique,l’environnement naturel,la société civile etle système politique),ce dernier prendra en compte aussi le développement durable des différents territoires, à travers l’inclusion sociale, l’éducation, l’emploi, la ville, l’industrie, l’énergie, l’eau, l’agriculture, la sécurité alimentaire,le traitement des déchets domestiques et industriels ainsi que la lutte contre les changementsclimatiques, tous ces facteurs joueront en faveur des start-ups et des territoires.

Références bibliographiques :

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المركز الديمقراطى العربى

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