LA ” RECONVERSION ” PATRIMONIALE ENTRE SURVIE ET REGENERATION TERRITORIALE
Prepared by the researche : Ibtissem KHLIFI. Affiliation : ESICMED, LR11S28, Manouba, Tunisie. Faculté des Lettres, des Arts et des Humanités de la Manouba. TUNISIE. Doctorante et Assistante contractuelle à ISAM Sidi Bouzid.
Democratic Arabic Center
Journal of cultural linguistic and artistic studies : Thirty-second Issue – June 2024
A Periodical International Journal published by the “Democratic Arab Center” Germany – Berlin
Journal of cultural linguistic and artistic studies
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Abstract
The socio-cultural changes experienced by Tunisia have not prevented civil society from carrying out communication and awareness-raising actions around the importance of heritage, bearer of the identity of a territory. Proposals have been made in the intention to implement equitable territorial development in the short and medium term through good environmental governance of natural heritage resources and cultural. Each region in our country is characterized by its monumental heritage, sign of its historical, social and economic evolution. Archaeological sites are a shared cultural heritage that guarantees local identities. Despite its wealth and importance on the archaeological, historical and tourist level too, our heritage is in degradation especially in the interior regions which remain insensitive to their
historical, artistic and cultural values after the revolution in 2011.
In this vision, the present research proposes a reflection on the valuation and popularization of ancient archaeological monuments as being ”a product” neglected, forgotten and marginalized especially in the interior regions precisely in the governorate of Sidi Bouzid: Henchir El Hnancha. A thought on the ways to reintroduce the components of this archaeological site into the reality of daily life to guarantee their survival. They are no longer fixed, they become ”useful”, seen and in communication with everyone. “The monument must sometimes in turn become an integral part of this general fluidification of reality, thanks to artefacts and artifices which will make it momentarily lose its heaviness and its immobility” (Régis Debray, 1999).
reality of daily life guarantees its continuity on the one hand and constitutes a real lever of
territorial regeneration. The heritage reconversion of this site via artisanal creation is no longer the transmission of a frozen image but rather the co-construction of meaning and knowledge (Lacerte, 2007). Design is at the heart of a duality between reliving the past and designing the present. However, the creation of the present takes place through the reconversion of the heritage. As part of this research, we were able to demonstrate that there is a new way to bring our heritage through mediation. This again proves that the design assures the change of the function of the monument: The monument becomes utilitarian by the design.
Introduction
Dans notre pays, chaque région est caractérisée par son patrimoine monumental, signe de son évolution historique, sociale et économique. Les sites archéologiques constituent un héritage culturel partagé qui garantit les identités locales. « La peur de disparaître sans laisser de trace a souvent hanté les Princes. Leur règne eût-il été des plus médiocres, il leur a tout de même fallu laisser une preuve indélébile de leur passage sur terre. Et quoi de plus facile pour eux, pour ne pas courir le risque de sombrer dans l‘oubli, que de faire ériger, en plus de leurs statues, quelque bâtiment à vocation de monument ? […]».[1]
Malgré leurs richesses archéologiques et historiques, nos espaces patrimoniaux sont délaissés et marginalisés surtout dans les régions intérieures bien précisément au gouvernorat de Sidi Bouzid : Bir El Hafey et Henchir El Hnancha.
Dans cette vision, la présente recherche propose une réflexion sur la valorisation et la vulgarisation des monuments archéologiques antiques comme étant ”un produit ” délaissé et oublié, surtout, après les actions menées par la société civile dans le but de les sauvegarder et les protéger. Une pensée sur les manières de réintroduire ce monument historique dans la réalité de la vie quotidienne pour garantir leurs survies. Il n’est plus figé, il devient ”utile”, aperçu et en communication avec tout le monde. « Le monument doit parfois devenir à son tour partie intégrante de cette fluidification généralisée du réel, grâce à des artefacts et des artifices qui lui feront perdre momentanément de sa lourdeur et de sa immobilité ».[2] A l’issue de nos méthodes analytiques et exploratoires de ce site archéologique, nous avons pu tirer les résultats suivants : un grand potentiel historique et archéologique est marginalisé mais son réintégration dans la réalité de la vie quotidienne garantit sa continuité d’une part et constitue un véritable levier de régénération territoriale. La reconversion patrimoniale de ces trois sites via la création artisanale n’est plus la transmission d’une image figée mais plutôt la co-construction de sens et de savoir (Lacerte, 2007). Le design est au cœur d’une dualité entre revivre le passé et concevoir le présent. Cependant la création du réel s’effectue à travers la reconversion du patrimoine. Dans le cadre de cette recherche, nous avons pu démontrer qu’il est une nouvelle manière pour faire revivre notre patrimoine de nouveau par la médiation. Cela prouve encore le design assure le changement de la fonction du monument: Le monument devient utilitaire par le design.
- Observation analytique de l’espace patrimonial de Sidi Bouzid :
- Henchir El Hnancha : Un monument romain en ruine :
Cette partie est consacrée à l’analyse d’un site archéologique situé dans la région de Sidi Bouzid. A la suite de cette observation analytique, nous identifions les valeurs patrimoniales et esthétiques de ce site : Henchir El Hnencha et décrivons ainsi son grand potentiel.
Pour mener à bien nos observations ainsi que nos explications, nous nous basons sur la méthode analytique, exploratoire et immersive. Cette dernière consiste à étudier toutes les notions en situation, en ayant recours à l’immersion soit l’observation directe des faits pour que nous puissions, par la suite, émettre nos hypothèses de recherche en se basant sur les résultats recueillis.
Les sites archéologiques de la région de Sidi Bouzid sont multiples et notre choix n’était pas facile. Alors, nous avons effectué la sélection selon la richesse esthétique et patrimoniale de ce site. Nous entamons notre observation analytique par la description du site archéologique Henchir El Hnancha. Ce site est une zone archéologique assez importante, riche de point de
vue artistique : des mosaïques, des fresques (rosaces), types de Murs (moellons, pierre taillées, quadrangulaire,…), mur en opus africanum et mur mixto.
Henchir el Hnancha est située au nord de la ville Bir El Hafey. Dans ce site, on trouve le témoignage de toutes les activités de la vie quotidienne antique présenté en trois types d’espaces: l’habitat (espace domestique), des thermes privés (espace domestique), les huileries (espace industriel). Nous sommes à la présence d’une ferme extra-muros (à l’extérieur de la cité de Ghamouda.
Figure 1 : L’habitat (espace domestique). (Photo de l’auteur)
Figure 2 : Thermes privés ( espace domestique). Figure 3: Les huileries (espace industriel)
(Photo de l’auteur) (Photo de l’auteur)
- Valeurs patrimoniales et esthétiques :
Chaque monument porte des valeurs patrimoniales et esthétiques signe de sa richesse historique et son importance. Les traces de mosaïque, les murs détruits, les vestiges des thermes et des rosaces racontent à la nouvelle génération l’histoire de toute une région.
Nous essayons dans cette partie d’analyser deux espaces de Henchir El Hnancha. Cela nous permettra par la suite de les exploiter dans notre expérience académique. Pour mener à bien notre étude analytique et exposer les valeurs patrimoniales et esthétiques que présentaient Henchir El Hnancha, nous avons choisi deux éléments de différents types d’espaces.
Elément A : Une partie d’un pavement de mosaïque de l’espace domestique.
Figure 4 : Un pavement de mosaïque de l’espace Habitat (Photo de l’auteur).
Description : Dessins géométriques de couleurs polychromes.
Technique : Opus tessellatum.
Datation : III e siècle Ap. J.-C
Etat de conservation : La mosaïque est détruite à plusieurs endroits. En très mauvais état de conservation.
Elément B : Une fresque qui constitue un élément architectural décoratif.
Figure 5 : Une rosace gravée (Photo de l’auteur).
Description : une rosace à ornement rond d’origine floral, composé d’éléments qui convergent vers le centre formant une rose.
Technique : gravure sur pierre à incisions profondes.
Datation : III e siècle Ap. J.-C
Etat de conservation : Nous sommes à la présence d’une rosace gravée, détruite à moitié. En très mauvais état de conservation.
- La valorisation culturelle et touristique des potentialités patrimoniales :
- La ”reconversion” patrimoniale via le design produit :
Suite à une observation analytique du site Henchir El Hnancha, nous avons pu tirer des valeurs patrimoniales et esthétiques assez riches et variées mais jusqu’à nos jours, il est marginalisé et oublié. Alors, comment peut-on sauvegarder, conserver et valoriser ces monuments à travers le design produit ? Comment peut-on intégrer ce site dans un cycle de rénovation et de régénération ?
Pour répondre à cette problématique, Nous avons lancé un exercice aux étudiants niveau 1ère année de différentes spécialités à l’Institut supérieur des Arts et Métiers de Sidi Bouzid: produit, espace et image. L’énoncé était comme suit: Valoriser l’espace patrimonial de Henchir EL Hnancha à travers la création d’un produit à usage quotidien.
A travers cette expérience académique, nous voulons découvrir des nouveaux domaines pour valoriser notre patrimoine et renouveler la fonction de ce site par le design.
- Résultats : La Co-construction de sens et de savoir-faire :
Nous exposons quelques résultats des travaux des étudiants qui ont réussi à démontrer les valeurs esthétiques et patrimoniales de Henchir El Hnancha.
Résultat 1 :
Le Produit conçu: Un tabouret.
Source d’inspiration: Fresque décorative d’un élément architectural.
Une partie de la mosaïque. (Henchir El Hnancha).
Techniques : -Gravure sur le bois à incisions profondes
-Opus tessellatum sur le cuir.
Figure 6 : Conception d’un tabouret inspiré d’une fresque décorative de Henchir El Hnancha.
(Photo de l’auteur)
Résultat 2 :
Le Produit conçu: un luminaire (Lampadaire).
Source d’inspiration: -Une partie de la mosaïque. (Henchir El Hnancha).
-Le site archéologique Ksar Lahmar.
Techniques:- Peinture sur toile.
– Gravure sur le bois
Figure 7 : Conception d’un lampadaire inspiré de la mosaïque de Henchir El Hnancha
(Photo de l’auteur)
A travers ces exemples, nous exposons des nouvelles pistes de reconversion du patrimoine. Reconvertir un site archéologique sans nuire à ses valeurs esthétiques et patrimoniales. Ces produits portent une identité, une histoire de toute une région. Comme apparaît dans les actes des rencontres départementales du patrimoine, les Cahiers Jean Hubert « un véritable dialogue est établi entre le passé et le présent, entre l’existant et la création contemporaine. Ces réalisations s’inscrivent dans la durée. Elles nécessitent du temps : le temps de la réflexion, le temps du projet, le temps des travaux »[3].
Le lien établi entre revivre le passé et concevoir le présent est assuré par le design. Cependant, la création du présent s’effectue à travers la reconversion du patrimoine, la réutilisation des valeurs esthétiques et patrimoniales d’un site archéologique. Nous parlons plus d’une image figée d’un monument, mais plutôt la Co-construction de sens et de savoir-faire par la reconversion, par la création artisanale.
Un grand potentiel historique et archéologique est marginalisé. Ainsi, son réintégration dans la réalité de la vie quotidienne, par l’expérience académique, garantit sa continuité d’une part et constitue un véritable levier de régénération territoriale. Reconvertir un monument qui baigne dans l’oubli c’est réutiliser ses valeurs et les adapter aux besoins de la société d’aujourd’hui. Alors, le fait de reconvertir un monument, le réutiliser, n’est-ce pas s’inscrire dans la démarche du développement durable ?
- Interprétation :
Suite à notre expérience académique, nous déduisons qu’il est toujours une manière pour se souvenir de notre patrimoine. Non seulement par son inscription à l’institut national de patrimoine, mais, aussi par sa reconversion à une création contemporaine. Une nouvelle création qui porte les valeurs patrimoniales et esthétiques d’un site archéologique et qui sera en communication avec tout le monde. Régis Neyret affirme que « la vie est amenée à prendre des formes différentes selon les lieux et les pays: le travail des associations, en liaison(ou en opposition!) avec les collectivités, doit aider à découvrir les formes de vies nouvelles qui permettront de donner une vocation contemporaine à un bâtiment ou à un quartier pour lesquels ils n’étaient pas toujours conçus à l’origine. Cela nécessite souvent que l’on abandonne des positions purement conservatoires, fixistes et passéistes pour prôner l’adaptabilité, l’aménagement et parfois la transformation [4]». Certes, les mutations sociales et économiques qu’ont connues le monde, sont pour la transformation de la fonction du monument mais transformer ou réutiliser sans nuire et toucher à son authenticité et à ses valeurs.
Nous interprétons, ci-dessous, par une modélisation systémique qui démontre les nouveaux liens établis entre le monument, porteur d’une histoire, et le produit par le design. Ce dernier assure le changement de la fonction du monument. On ne parle plus d’un espace marginalisé mais plutôt d’un espace utilitaire, libéré de son image fixe.
Figure 8 : Modélisation systémique (Photo de l’auteur).
Des liens distendus sont réactivés de nouveau grâce au design ; des liens entre le passé (le monument) et le présent (le produit). Cette modélisation a mis à niveau le concept de la médiation rénovatrice qui a pour objectif selon Michèle Guillaume- Hofnung de réactiver les liens distendus.[5]
- La valorisation touristique des potentialités patrimoniales :
Depuis longtemps, la valorisation touristique des sites archéologiques de Sidi Bouzid était planifiée dans le programme de la mise en valeur du patrimoine par l’institut national du patrimoine en collaboration avec la société civile. Mais, jusqu’à nos jours, aucun projet n’est concrétisé.
Selon A. Hajlaoui « Les budgets réservés à la restauration ne pourront que motiver le développement durable et ce à travers la création d’emplois quoique provisoires. En fait, à côté de ces petits projets et chantiers de restauration limités dans le temps et dans l’espace, la mise en valeur du patrimoine peut se faire selon trois grands volets : La création d’un parc archéologique, La mise en place d’un musée et l’instauration d’un ou deux circuits touristiques […] »[6].
En effet, il existe plusieurs façons de valoriser un site archéologique d’un point de vue touristique :
- Un centre d’interprétation : créer un centre d’interprétation qui permet aux visiteurs de mieux comprendre l’histoire et la signification du site archéologique. Il peut inclure des expositions, des présentations multimédias, des guides audio ou des visites guidées.
- Des visites guidées : proposer des visites guidées qui peuvent aider les visiteurs à mieux comprendre l’histoire et la signification du site archéologique. Les guides peuvent fournir des informations supplémentaires sur les fouilles archéologiques, les découvertes et les artefacts trouvés sur le site.
- Des événements culturels : organiser des événements culturels tels que des concerts, des spectacles de danse ou des projections de films, pour permettre aux visiteurs de découvrir la culture et l’histoire du site.
Tous ces propositions et autres aident à attirer un public large et à promouvoir le site archéologique en tant que destination touristique. De ce fait, la valorisation touristique des potentiels patrimoniaux peut encourager le développement durable d’une région en attirant des visiteurs qui dépensent de l’argent dans la région, permettant ainsi des emplois pour les habitants locaux. De plus, cela peut également encourager la préservation et la conservation des sites patrimoniaux, ce qui peut aider à préserver l’histoire et la culture de la région pour les générations futures.
Conclusion
Pour conclure, la valorisation du patrimoine peut se faire de différentes manières. Outre l’inscription d’un monument, le design peut également être utilisé pour sauvegarder, conserver et valoriser un monument. En utilisant le design, le monument peut devenir un moyen de médiation rénovatrice et un levier de régénération territoriale. En transformant un monument en un produit ou en réutilisant ses valeurs patrimoniales et esthétiques dans la conception d’un nouveau produit à usage quotidien, on peut s’inscrire dans la démarche du développement durable. Cela peut non seulement préserver l’histoire et la culture de la région mais aussi encourager le développement économique et social de la région en proposant de nouveaux produits et en attirant des visiteurs qui souhaitent découvrir la culture et l’histoire de la région.
SOURCE BIBLIOGRAPHIQUE :
-AMOUGOU (Emmanuel), « La question patrimoniale. De la “patrimonialisation” à l’examen des situations concrètes ». Paris : L’Harmattan, 2004
-Anis. Hajlaoui, « Le patrimoine archéologique et historique antique de la région de Sidi Bouzid (centre tunisien) : perspectives de mise en valeur », in « IN AFRICA ET IN MOESIA Frontières du monde romain. Partager le patrimoine de l’Afrique du Nord et du Bas Danube. Borders of the Roman World. Sharing Heritage of North Africa and the Lower Danube », 2021, Disponible sur le lien: https://www.cnr-unesco.ro/uploads/media/In_Africa_en.pdf
-Cahiers Jean Hubert, « Reconvertir le patrimoine », éditions ; lieux dits, actes des rencontres départementales du patrimoine, 2003
-CHAOYE (Françoise), « L’Allégorie du patrimoine », édition du seuil Paris, 1992
-DAVALLON, (Jean). «Le don du patrimoine, une approche communicationnelle de la patrimonialisation». Paris : Lavoisier, 2006.
-Garnier JEAN-PIERRE, « Du Monument Comme « Événement » », « L’Homme & la Société » n° 146, Le Harmattan, 2002, disponible sur le lien : https://www.cairn.info/revue-l-homme-etla-societe-2002-4-page-7.htm#
-RIEGL ALOÏS, «Le culte moderne des monuments. Son essence et sa genèse» La série de valeurs analysées par RIEGL, trad. franç. Par D. Wieczorek, Paris. Seuil (rééd.1984).
-Régis NEYRET, « Le patrimoine atout du développement », Col. Transversales II, Maison d’édition : centre Jacques Cartier Presses Universitaires de Lyon, 1992
-Régis Debray, « Trace, forme ou message ? », Les Cahiers de médiologie, n° 7, 1999
-GRAVARI-BARBAS, (M.) (2002). « Le patrimoine territorial, construction patrimoniale, construction territoriale: vers une gouvernance patrimoniale ? » ESO travaux et documents, 1
-Michèle Guillaume- Hofnung, « Une terminologie claire est indispensable », 2008, Disponible sur le lien : https://www.mediation.lu/wp-content/uploads/2017/05/WORT20080714GuillaumeHofnung.pdf
[1] Garnier (JEAN-PIERRE), « Du Monument Comme « Événement » », « L’Homme & la Société » n° 146, Le Harmattan, 2002, p.17, consulté le 07/10/2020, disponible sur le lien : https://www.cairn.info/revue-l-homme-etla-societe-2002-4-page-7.htm#
[2] Régis Debray, « Trace, forme ou message ? », Les Cahiers de médiologie, n° 7, 1999
[3]Cahiers Jean Hubert, « Reconvertir le patrimoine », éditions ; lieux dits, actes des rencontres départementales du patrimoine, 2003.
[4] Régis NEYRET, « Le patrimoine atout du développement », Col. Transversales II, Maison d’édition : centre Jacques Cartier Presses Universitaires de Lyon, 1992, P.14
[5] Michèle Guillaume- Hofnung, « Une terminologie claire est indispensable », 2008, P. 12. Disponible sur le lien : https://www.mediation.lu/wp-content/uploads/2017/05/WORT20080714GuillaumeHofnung.pdf
[6] Anis. Hajlaoui, « Le patrimoine archéologique et historique antique de la région de Sidi Bouzid (centre tunisien) : perspectives de mise en valeur », in « IN AFRICA ET IN MOESIA Frontières du monde romain. Partager le patrimoine de l’Afrique du Nord et du Bas Danube. Borders of the Roman World. Sharing Heritage of North Africa and the Lower Danube », 2021, p.202, Disponible sur le lien: https://www.cnr-unesco.ro/uploads/media/In_Africa_en.pdf